jeudi 31 janvier 2013

"Hellboy in Hell #2", la review !


Ami(e)s fans du démon cornu, voici enfin venir l'émission review du deuxième numéro de l'ongoing "Hellboy in Hell". Ouais, je sais, j'aurais dû la faire depuis bien longtemps. Mais bon, on fait du mieux qu'on peut avec ce qu'on a. Alors, pour le coup, j'ai tenté de faire les choses de façon propre, rapide et efficace. Traduction : ça part encore plus dans tous les sens que d'habitude, ça ressemble encore plus à rien que d'habitude, ça fait super brouillon, mais ça a au moins le mérite de ne pas donner mal à la tête. C'est pas ouf, mais c'est ce que j'ai de mieux à vous proposer, en fait. Allez, enjoy quand même : 

4 commentaires:

  1. Ca c'est de la review comme je les aime ! On se marre autant qu'on en apprend.

    En tout cas ca donne totalement envie, et je rejoins en tout points ton avis... Pour l'instant, cet Hellboy in hell envoie méchamment du paté !
    Mike Mignola joue son anticonformiste dans le monde plutôt aseptisé du comics contemporain (Du moins pour les parutions "grand public"), et c'est que du bonheur.

    C'est la qu'on voit que les BD, comics etc peuvent vraiment être de l'art, quand de véritables génies sont aux commandes. Et on ne peut qu'être fiers d'êtres fans de ce grand monsieur qu'est Mike Mignola !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Roooooh, merci Nalzur XD Nan, vraiment, un grand merci pour ton commentaire et ton enthousiasme qui me flattent autant qu'ils me font plaisir.

      Comment plus que pertinent sur le travail de Mignola sur ce Hellboy in Hell et qui met, avec une facilité plus que déconcertante, à l'amende tous ces concurrents. Du bel ouvrage qui peut se vanter d'être considéré comme de l'art aux multiples influences.

      Supprimer
  2. En effet Nalzur, les vidéo de Troggy' sont très "signées" (humour et improvisation au service d'une information/analyse de pointe et via un montage TRÈS professionnel; des modèles du genre vidéo/blog).
    Quand à la BD, C'EST de l'art de toutes façons, pratiquée par des artistes ou non... Un art d'autant plus complexe qu'il nécessite, pour l'appréhender, une culture de l'image ET une culture du texte (et une intelligence de leur mix).
    Panatrog, tu as raison à propos de l'évolution du style Mignola, elle ne procède pas seulement d'un travail pictural. Une des explications, me semble-t-il, se trouve dans la bio de Mike Mignola. Encreur à ses débuts, puis dessinateur au service de scénaristes, il devait forcément accorder la plus grande par de son attention d'artiste au dessin. MAIS, en créant le mignolaverse, et surtout en le développant, il a dû céder les crayons à d'autres pour se consacrer avec plus d'acuité aux récits (notamment en collaborant avec des scénaristes/écrivains comme Arcudi ou Golden). Il s'est donc penché avec plus de précision sur l'art du storytelling et il est naturel que, reprenant les pinceaux, son trait se mette encore plus qu'avant au service du narratif, d'où son iconisation.
    IL y a deux exemples, dans ce deuxième numéro, d'une revendication "explicite" de cette tendance (mais je me suis laissé dire que ton rédacteur du "Bernard Parallel Research Dato" devait en toucher un mot; nous verrons bien).
    See You Soon,
    GHost JeanJean

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Encore et toujours ce fameux Bernard Dato...mais qui est-il ? Où est-il ? Et va-t-il enfin réussir à écrire l'article qu'il annonce en avance ? Trop de questions...des questions qui méritent de rester sans réponses...

      PS : Et puis vous allez arrêter tous les deux avec vos compliments ?! A force, on va croire que j'vous ai soudoyé pour venir me faire rougir via les commentaires du blog. Nan mais...j'ai une réputation de looser à tenir, moi...XD

      Supprimer