Une fois sorti de la séance de dédicaces organisée par Album, me voilà parti en direction de Châtelet afin d'assister à l'avant-première du dernier chef d’œuvre de Guillermo del'Toro, Hellboy 2 : Les légions d'or maudites. J'arrivais donc sur les lieux de l'évènement avec une heure d'avance sur le planning, soit à 19h15,
heure de mise à disposition des billets réservés sur le site web des
cinémas UGC. Une fois mon billet en ma possession, me voilà en train
d'attendre dans la file d'attente de la première séance de Hellboy 2. Car oui, contrairement à ce qui était initialement prévu, il y eut au final 2 séances, l'une à 20h15, l'autre à 20h30. Cette organisation de dernière minute permit au public des deux salles d'apercevoir le réalisateur du film.
20h15, l'entrée de la salle 6 de l'UGC Ciné Cité est enfin ouverte et la foule prend très vite place au sein de l'une des plus grandes salles du cinéma. Quelques minutes à peine après m'être installé au deuxième rang, les lumières s'éteignent, laissant ainsi apparaître GDT qui, sous les applaudissements du public, se poste dans un coin de la salle afin de laisser à un speaker le bon soin de faire les présentations. L'homme évoque ainsi la filmographie du réalisateur sous les applaudissements de la salle, et il faut bien le dire, c'est le Labyrinthe de Pan qui remporte la victoire de l'applaudimètre suivit de près par notre ami Hellboy. Arrive enfin Guillermo del'Toro qui, avec le sourire aux lèvre et sous les applaudissement d'un public en quasi délire, se lance dans un discours improvisé pour l'occasion. Sont ainsi abordés l' approche artistique du film, ses différents thèmes, la fascination qu'éprouve le réalisateur pour notre démon fétiche ainsi que l'éventuel succès que connaîtra le film face au futur James Bond.
Le réalisateur, grand philosophe dans l'âme, à sut en effet résumé la bataille opposant son film au Dark Knight de la manière suivante : "Even if The Dark Knight still hurt my ass, I hope we'll f**k 007 !" Phrase qui, vous vous en doutez, sut faire son petit effet, puisque la première moitié de la salle explosa de rire tandis que l'autre moitié se mit à applaudir de manière plus qu'explosive. Ce fut donc sur cette petite note d'humour que Guillermo del'Toro quitta la salle, non sans avoir signé un autographe à l'un de ses fans opportuniste, afin de pouvoir repartir dés le lendemain pour la Nouvelle Zélande, puisqu'il était venu en France spécialement pour l'occasion.
20h15, l'entrée de la salle 6 de l'UGC Ciné Cité est enfin ouverte et la foule prend très vite place au sein de l'une des plus grandes salles du cinéma. Quelques minutes à peine après m'être installé au deuxième rang, les lumières s'éteignent, laissant ainsi apparaître GDT qui, sous les applaudissements du public, se poste dans un coin de la salle afin de laisser à un speaker le bon soin de faire les présentations. L'homme évoque ainsi la filmographie du réalisateur sous les applaudissements de la salle, et il faut bien le dire, c'est le Labyrinthe de Pan qui remporte la victoire de l'applaudimètre suivit de près par notre ami Hellboy. Arrive enfin Guillermo del'Toro qui, avec le sourire aux lèvre et sous les applaudissement d'un public en quasi délire, se lance dans un discours improvisé pour l'occasion. Sont ainsi abordés l' approche artistique du film, ses différents thèmes, la fascination qu'éprouve le réalisateur pour notre démon fétiche ainsi que l'éventuel succès que connaîtra le film face au futur James Bond.
Le réalisateur, grand philosophe dans l'âme, à sut en effet résumé la bataille opposant son film au Dark Knight de la manière suivante : "Even if The Dark Knight still hurt my ass, I hope we'll f**k 007 !" Phrase qui, vous vous en doutez, sut faire son petit effet, puisque la première moitié de la salle explosa de rire tandis que l'autre moitié se mit à applaudir de manière plus qu'explosive. Ce fut donc sur cette petite note d'humour que Guillermo del'Toro quitta la salle, non sans avoir signé un autographe à l'un de ses fans opportuniste, afin de pouvoir repartir dés le lendemain pour la Nouvelle Zélande, puisqu'il était venu en France spécialement pour l'occasion.
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