Comme promis, voici l'histoire courte (8 pages seulement) conçue spécialement par Mike Mignola et Ben Stenbeck pour la page MySpace de l'éditeur américain Dark Horse (Hellboy, Sin City, Conan...). Ce one-shot nous entraîne dans l'une des premières aventures de celui qui, au cours de l'âge victorien, est devenu le Witchfinder, Sir Edward Grey, un personnage que vous avez pu apercevoir dans le premier TPB des aventures de Abe Sapien, The Drowning. Si ce n'est pas le cas, pas de panique, ce spin-off se verra surement adapter par Delcourt...Un jour !
Suite et fin pour ce court one shot dédié à Sir Edward Grey, détective de l'occulte plus connu sous le pseudonyme de Witchfinder. Toujours scénarisé par Mike Mignola, cette histoire bonus -Que nous verrons surement un jour dans un quelconque volume de l'univers de Hellboy- à le mérite de ne pas faire dans la dentelle et de présenter clairement et rapidement les choses : Être le witchfinder n'est pas forcément quelque chose de bénéfique en soit.
En plus de devoir chasser, débusquer et tuer divers sorcières en tous genres, Sir Edward Grey nous est présenté comme étant seul face à son destin, un destin funeste marquer au feutre indélébile par la Reine d'Angleterre au cours de l'année 1879. Se voir attribuer un tel titre de noblesse alors que l'on côtoie tous les jours la mort, que l'on fait face aux pires des créatures tapis dans la nuit et que l'on est en conflit permanent et direct avec les forces du mal, tout en restant seul...Est-ce réellement quelque chose de glorieux ?
En plus de devoir chasser, débusquer et tuer divers sorcières en tous genres, Sir Edward Grey nous est présenté comme étant seul face à son destin, un destin funeste marquer au feutre indélébile par la Reine d'Angleterre au cours de l'année 1879. Se voir attribuer un tel titre de noblesse alors que l'on côtoie tous les jours la mort, que l'on fait face aux pires des créatures tapis dans la nuit et que l'on est en conflit permanent et direct avec les forces du mal, tout en restant seul...Est-ce réellement quelque chose de glorieux ?
Le débat restera, malheureusement, à jamais ouvert...
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